lundi 31 janvier 2011

LA musique de mon roman


Voici LA musique qui correspond à mon roman... Quand l'inspiration me quitte, rien de tel que ce morceau pour la faire revenir au galop !

samedi 29 janvier 2011

La Théorie Süskind

Cher lecteur,

Avant que tu ne plonges dans un univers de fantasy, je te propose un texte de son style cousin : le fantastique.
Nouvelle réalisée pour un concours d'écriture, elle devait suivre un thème qui était l'état du monde après l'apocalypse de 2012.
Bonne lecture...

La Théorie Süskind

Avril 2013, 118 jours P.-A.

Jarden von Sully était un homme tout ce qu'il y avait de plus répugnant. Ses dents étaient jaunies par le tabac et à intervalles irréguliers dans cette bouche monstrueuse à la mâchoire prognathe, dans cet enfer putride comme l'enfer de soufre que le monde redoute. Ses joues étaient creuses comme l'intérieur d'un bambou et couvertes de furoncles et de pustules. Son nez était aquilin, mais brisé en deux endroits éloignés, un près des narines, qui les faisaient inexorablement pencher vers le bas, et l'autre près du front, à l'intersection du prolongement des arcades sourcilières. Quant à celles-ci, elles étaient exorbitées comme des yeux, et il y poussaient des sourcils gras et noirs, horriblement épais. Ses mirettes étaient injectées de sang, et on décernait difficilement leur couleur originelle : le vert. Ses cheveux, malgré leur teinte blonde, affichaient qu'ils n'avaient plus été lavés depuis des mois, et ils dégageaient une odeur pestilentielle qui ne se distillait pas de la puanteur entière de son corps. Sa taille était médiocre, son poids également : bref, c'était un homme répugnant. Le plus répugnant de tous les hommes. Le plus répugnant des hommes répugnants.

Jarden von Sully ne savait pas pourquoi Dieu et tous les saints de la Terre l'avaient épargné. Certes, malgré l'attitude de dégoût de tierces personnes face à son physique abominable, il aimait la vie et jamais, au grand jamais, il n'aurait tenté quoi que ce soit pour y mettre un terme. Jarden n'avait pas de famille, pas d'amis, et il se gardait bien de pleurer la mort de millions de personnes qu'il ne connaissait même pas. Alors, il ne s'était pas débattu et n'avait pas protesté lorsqu'on l'avait embarqué pour les profondeurs souterraines pour le protéger de l'air vicié qui émanait, à présent, de la morgue qu'était devenue la surface de la planète.

L'air, là en-dessous, n'était pas ce qu'il y avait de plus sain, mais Jarden n'avait pas besoin de plus pour vivre, ou tout du moins, ce qu'il appelait vivre. Mais qu'était la vie à des centaines de mètres sous terre, le dernier refuge de la race humaine, alors que chacun tuerait pour posséder ne fusse qu'un roman ? Qu'était la vie dans cet enfer de haine, de densité, de puanteur de soufre et de sueur ? Jarden s'en fichait, qu'on l'aime ou qu'on le méprise au sein de cette société artificielle n'avait aucun impact sur son quotidien.

Il s'occupait de l'électricité de son village, puisqu'il était homme de métier lorsque la Terre tournait encore, et, avec quelques autres techniciens et électriciens, surveillait le générateur principal. Oui, il y avait de l'électricité là-dessous. Les villages sous-terrains avaient été construits quelques mois avant l'Apocalypse, sur ordre des géographes, et, grâce à des tunnels artificiels, on parvint à amener des générateurs électriques pour alimenter les habitations temporairement, jusqu'à ce que l'air à la surface se purifiât. Cette installation impliquait une architecture complexe que même Jarden se gardait de comprendre. Il se contentait de surveiller, jour après jour, la source de tout lumière dans son village : ce qui permettait aux rescapés de ne pas perdre le peu de raison qu'ils leur restaient.

La vie souterraine n'était pas ce qu'il y avait de plus insupportable comparée à celle de la surface, tout du moins du point de vue de l'électricien. La monotonie de son poste ne le dérangeait pas, il se plaisait à s'occuper d'un générateur d'électricité qui était une des dernières traces d'humanité en ces bas-fonds. Quelque fois, Jarden se demandait s'il y avait de la vie ailleurs que dans son village, s'il y avait d'autres hommes perdus dans le noir, sans logis, sans repères, sans espoir... Il plaignait ces personnes-là qui cherchaient la voie de la vie en société, de la lumière, et qui tâtaient dans l'obscurité, s'écorchant les paumes sur les roches en saillie. Dans son village, ils n'étaient qu'une petite centaine : la plupart des gens sans histoire, sur la tête desquels ont chu tous les malheurs de la planète sans qu'ils aient pu réagir.

Cependant, certains habitants se révoltaient, hurlaient que ce n'était pas de la faute des hommes, mais qu'il s'agissait bien de la Terre elle-même et de sa haine envers la race humaine, qu'elle a toutefois engendré, qui était au summum de sa puissance. Jarden ne faisait partie d'aucun de ces groupes de rebelles de la tyrannie de la planète, et il se contentait de faire son petit boulot et organiser sa survie sans se soucier des pensées pugnaces de ses semblables qui passaient plus de temps à se quereller qu'à s'entraider, ce qui était indispensable en ces temps obscurs.

Or, la monotonie de la survie de Jarden von Sully s'avéra disparaître le jour – ou si on pouvait le nommer ainsi alors que la seule source de lumière à des centaines de mètres en-dessous de la surface terrestre était totalement artificielle – où il lui tomba entre les mains un bien curieux individu.

Il s'agissait vraisemblablement de la fin de la journée, car Jarden était épuisé : le générateur avait fait des siennes en pétaradant comme un vieux moteur, et le pauvre électricien avait dû courir de tous côtés pour découvrir la cause de ce bruit tonitruant. Ils durent se mettre à plusieurs pour jouer avec les manettes et vérifier les installations ; ce ne fut qu'après trois bonnes heures de combat que le hurlement de douleur s'estompa pour laisser place à la respiration habituelle, qui était bien plus rassurante. Suite à ces heures de dur labeur, le machiniste en chef décida que les employés avaient besoin de repos, car lui-même qui n'avait pas bougé de son rocking-chair se sentait las et fatigué.
Jarden, sans le savoir, quitta donc son poste bien avant le coucher du soleil qu'il ne pouvait plus, malheureusement, contempler dans toute sa splendeur. La notion du temps n'existait plus au village, et l'électricien s'y était rapidement habitué.

Il s'engagea dans une petite rue faiblement éclairée. Seuls deux lampadaires clignotaient suite aux problèmes du générateur, le sol était boueux et glissant.
La cabane de Jarden se trouvait deux ruelles plus loin, près d'une nappe phréatique. Alors qu'il traversait le lieu presque abandonné, un bruissement à sa gauche, dans la pénombre, alerta ses sens. Il s'arrêta, et, comme la bête qu'il était devenu, il dilata ses narines et fixa au loin, là où les vulgaires lampadaires n'éclairaient plus, dans le noir le plus profond et le plus impénétrable, ce qui allait en surgir.

L'électricien repéra un bruit sourd, comme une chute sur le roc, et continua à tenir ses sens auditif et olfactif aux aguets. Une puanteur terrifiante s'éleva à sa gauche, celle de quelqu'un qui ne s'était plus lavé depuis des années. Elle frappa les narines de Jarden comme un coup de poing incontrôlé ; sitôt, il pinça son nez et avança en silence vers cette odeur immonde qu'il ne sentait plus. Au fur et à mesure qu'il se rapprochait de sa source, des gémissements et des sanglots lui parvenaient en affreuses ondes pour ses pauvres tympans usés par le souffle insupportable du générateur.

« Qui est là ? » appela-t-il, sans recevoir de réponse à part un long cri plaintif.

Jarden tâta sa poche droite et en extirpa une lampe-torche. Il savait au fond de lui que ce qu'il y avait dans la pénombre n'était pas dangereux, simplement terrorisé et perdu. Il actionna le bouton et un faisceau lumineux traversa la couche sombre de l'obscurité environnante, révélant, à quelques mètres, une masse grouillante et sanglotante en haillons, recroquevillée sur le sol humide.

Jarden resta pétrifié un instant, en croyant à une bête tout droit sortie d'un film d'horreur. La main tenant la lampe-torche trembla légèrement, troublant le faisceau, mais la chose ne daignait pas bouger, pas même lever les yeux vers la lumière ; pire, elle ne voulait pas la voir. Elle dissimulait sa tête entre ses mains, et pivotait un peu plus vers la pénombre, comme un vampire recherchant l'obscurité, par peur de se décomposer au soleil. Jarden reprit ses esprits, et cessa ses tremblements, bien qu'il avait encore de l'appréhension vis-à-vis de cette masse grouillante, gémissant comme un torturé. Il appela de nouveau, d'une voix incertaine :

« Je peux vous aider ? Vous êtes blessé ? »

Rien ne lui revint. Il soupira discrètement. L'électricien abandonna toute tentative civilisée de communication et s'approcha de la chose d'un pas méfiant, tenant toujours le faisceau lumineux braquée sur elle, les sens en alerte. Il trébucha sur une pierre en saillie, mais se rattrapa à la parois rocheuse à sa gauche, où il s'écorcha la paume de la main ; il murmura des injures tandis qu'il essuyait le sang sur son vieux pantalon, sans pour autant cesser la modique effusion. Jarden respira un bon coup, et, en levant les yeux, vit avec effroi qu'entre-temps, le visage de la chose s'était tourné vers lui, et qu'elle l'observait avec les yeux mis-clos. L'horreur de la vérité frappa le pauvre électricien de plein fouet.

Il s'agissait d'un être humain. Un homme de race blanche.

Son visage était chevalin, ses cheveux noirs en bataille. Une barbe hirsute s'appropriait tout son menton en galoche qu'on ne percevait plus sous la masse de poils. Ses joues étaient encore plus creuses que celles de Jarden et criblées de taches de boue mêlées à du sang caillé, également présentes sur son front où s'imposait une blessure peu profonde. Des cernes pendait sous ses yeux bleu intense rougis par les larmes, et une ouverture sanglante démarrait près de son œil droit pour se terminer en bas de la pommette. Il tenait un carnet écorné dans sa main droite.

Cette personne était effrayée par l'apparition de Jarden, mais sûrement plus par sa laideur repoussante, et le pauvre homme en avait conscience. Il s'accroupit face à l'homme tremblotant et posa sa main sur son épaule, juste pour avoir l'air réconfortant et bienveillant.

« D'où venez-vous ? » demanda Jarden dans un souffle. « Qu'est-ce qu'il vous est arrivé ? »

Le pauvre ne répondit pas. Il se contenta de renifler.

L'électricien coinça sa lampe-torche dans sa ceinture et attrapa le rescapé sous les aisselles pour l'aider à se relever tout en douceur, ce qui eut pour effet de lui soutirer un gémissement de douleur qu'il tenta, en vain, de dissimuler en serrant les dents. Quand il fut debout, il retira son pied gauche du sol, et Jarden devina qu'il avait une vilaine entorse.

« Ça va aller, ça va aller. » le rassura-t-il. « Je vais vous ramener chez moi et vous soigner, ne vous inquiétez pas. »

L'homme se contenta d'acquiescer, et ses yeux étaient à présent totalement ouverts, signe qu'il s'était réhabitué à la lumière. Jarden le soutint par les épaules et le laissa s'appuyer contre lui tout en l'aidant à mettre un pied nu devant l'autre, alors qu'ils regagnaient les lumières artificielles des lampadaires et des maisons les plus proches.

* * *


« Avril 2013, 119 jours P.-A.

Cher journal,


J'avais tort, nous ne sommes pas dans l'obscurité. Tout du moins, pas tous.

Je suis tombé sur un village alimenté en électricité par un générateur installé avant l'Apocalypse.

J'ai été recueilli par un homme repoussant, mais qui semble empli de bonne volonté et de bienveillance, et je m'habitue de nouveau à la présence de la lumière que mes yeux avaient oubliée et tant réclamée.

C'est la première fois en 119 jours que j'écris sur un bureau, avec une lampe de chevet et une couverture sur les épaules.


Mais une question demeure : y a-t-il d'autres villages ainsi conçus ? Si oui, où ?

Je ne sais rien de l'origine de ce lieu, et je compte bien cribler de questions mon sauveur qui, je le pense, sera ouvert à ce genre de demande. Je suis à présent sauvé, et je compte bien ne pas déserter pour le moment.


Même si je sais qu'il faut que j'indique le chemin à ceux qui se sont égarés dans l'obscurité.


Il y a quelque chose à la surface, je le sais. Quelque chose d'impitoyable et de silencieux, prêt à détruire toute forme de vie.


Le fluidum letale. »


* * *


Avril 2013, 125 jours P.-A.

Lorsque le mystérieux homme que Jarden avait trouvé aux portes du village daigna enfin lui parler, il se mit à raconter les choses horribles qui lui étaient arrivées dans les galeries et les tunnels souterrains, et les recherches qu'il y menait.

Cet homme s'appelait Luther, il avait 24 ans et il vivait à Los Angeles quand les catastrophes s'étaient déclarées. Il était étudiant en chimie analytique, et habitait dans un kot avec des amis de l'université. Lorsque le ciel lui était tombé sur la tête, il fut le premier à s'engouffrer, avec ses camarades, ses valises contenant ses éprouvettes et tout le matériel du petit chimiste, dans les souterrains artificiels, mais s'était rapidement égaré dans les galeries tortueuses et les avait perdus de vue après des kilomètres de détour. Seul dans le noir avec sa lampe-torche, il avait survécu en mangeant des lézards et en léchant les pierres humides pour se désaltérer. 118 jours dans une totale solitude, banni des siens et de la surface terrestre. Il lui fallut une semaine pour recommencer à vivre en société dans ce village coupé du monde, et à apprendre à reparler à un être humain vivant. Pendant 114 jours, il avait analysé l'air vicié de la surface après en avoir prélevé avant de s'engouffrer sous terre, et aujourd'hui, il avait enfin une réponse fructueuse.

« Je sais pourquoi l'air est irrespirable, à la surface. » dit Luther alors qu'il était allongé sur le lit de Jarden, tandis que celui-ci inspectait des graphiques, à son bureau.

Ce dernier détourna le regard de ses feuilles et pivota vers lui, ses lunettes de lecture sur le bout de son nez aquilin.

« Eh bien, pourquoi ? demanda-t-il en croisant les bras sur sa poitrine.
– Il s'agit d'un gaz s'attaquant à l'organisme, répondit Luther en contemplant le plafond taché d'humidité, au départ, c'était totalement fictif. Tenez, regardez. »

L'homme lui lança un bouquin, que Jarden attrapa avec agilité. Sur la couverture, une femme nue, apparemment morte, gisait au milieu de draps fins et de teinte monotone. Au-dessus, le titre : Le Parfum, histoire d'un meurtrier, de Patrick Süskind.

« Vous aimez les classiques. » commenta Jarden en feuilletant le roman avec délectation. « Dans ce livre, chaque page à une odeur, c'est incroyable. »

Luther esquissa un sourire, et acquiesça. Il tourna son regard vers la lampe de chevet qui éclairait la pièce, et poussa un profond soupir de lassitude.

« Lisez à voix haute, page 156, lignes 16 à 21. » ordonna-t-il d'un ton qu'il voulut moins élevé.

Jarden remonta ses lunettes sur son nez en bec d'aigle, et tourna les pages jusqu'à trouver la référence de son protégé.

« Sa thèse était que la vie ne saurait se développer qu'à une certaine distance de la terre, celle-ci exhalant constamment un gaz délétère, qu'il appelait fluidum letale et qui, selon lui, paralysait les énergies vitales et, tôt ou tard, en venait entièrement à bout. » lut l'électricien, sans comprendre vraiment pourquoi Luther l'assignait à cette tâche.

Après avoir terminé la phrase, il leva les yeux sur l'homme allongé sur les couvertures.

« Qu'est-ce que vous insinuez, Luther ?
– Que ce gaz a été secrété après toutes les horreurs que nous avons fait subir à notre planète. » répondit-il avec un air expert. « Comme Jules Verne avec le sous-marin et Hergé avec la fusée, Patrick Süskind était un visionnaire, avec ce gaz qui n'avait jamais été détecté jusqu'à présent, enfin, après les catastrophes. L'air à la surface a été pourri par ce fluidum letale qui est apparu de façon anodine et quasi imperceptible, puis s'est amplifié en hauteur et en puissance : pour finir, il a totalement remplacé notre gaz vital, faisant flétrir n'importe quel organisme. »

Jarden ne répondit rien. Il se contenta de méditer la thèse de Luther tout en feuilletant Le Parfum, suivant une phrase toutes les dix pages sur l'incroyable épopée de Jean-Baptiste Grenouille dans le monde évanescent des odeurs.

« Et quand ce gaz va-t-il se dissiper ? » demanda-t-il, avec appréhension de la réponse.

Luther se tourna vers lui en s'appuyant sur un coude et le transperça de ses yeux bleus jusqu'à la rétine.

« Si la Théorie Süskind est exacte, ce que je redoute malheureusement, nous ne reverrons jamais la lumière du jour. » soupira le jeune homme en se laissant retomber sur le lit.

Le visage de Jarden se décomposa.

* * *


« Mai 2013, 140 jours P.-A.

Cher journal,


J'ai trouvé Jarden pendu avec sa ceinture aujourd'hui matin.

Je culpabilise énormément, car je sais que jamais je n'aurais dû lui révéler la Théorie Süskind. Mais pourtant, il fallait que le dise à quelqu'un, car je suis certain de ce que j'avance. Qui sera assez fort pour entendre l'effroyable vérité ?


Qui ? »

Champ de travail ou de bataille ?

Le capharnaüm de l'écrivain ou la stimulation des idées !
Tout écrivain n'est pas un modèle d'ordre, la preuve avec mon champ de travail.
  • Un disque aux musiques évanescentes stimulant mon imaginaire (le nec plus ultra, c'est une compilation d'Era, d'Enigma ou encore de Faun).
  • Un abécédaire des créatures, m'aidant à inventer des monstres hybrides ou tout simplement à mettre en scène des bêtes de ce recueil (Monstres, merveilles et créatures fantastiques, de Martial Guédron, pour les intéressés par  l'ouvrage).
  • La carte du monde que j'ai inventé pour mon roman, truffée de notes, surtout l'itinéraire que vont prendre mes personnages et les moments-clé qui parsèment les différents territoires.
  • La version non corrigée, annotée par mon senseï.
  • Et enfin la clé USB, indispensable pour protéger mes écrits avec optimalité via mon ordinateur (oui, HCF possède un Personal Computer !)








Bienvenue...

Bienvenue à toi, cher lecteur...

Mon pseudonyme est High Captain Fantasy, et tu ne sauras point mon nom.

Ici sont terrés mes textes. Dans la veine de J.R.R. Tolkien, C.S. Lewis ou R.A. Salvatore, je rédige des nouvelles et à présent un roman avec pour seul mot d'ordre le fabuleux. Tu découvriras dans ma bibliothèque des textes mettant en scène chimères, dragons, minotaures, faunes, satyres, harpies, tritons, ondins, vampires, loups-garous, monstres marins et plein d'autres créatures issues de l'imaginaire des hommes. Aux côtés de ces bêtes fabuleuses se côtoieront des héros de lumière et de ténèbres, des rois diaboliques et des peuples révoltés, avec comme fonds des territoires variés et des paysages que je m'efforce d'être décris de manière à ce que le lecteur s'y plaise et y soit présent.

On appelle ce style d'écriture la High Fantasy.

Je te propose, en entrant dans ma bibliothèque, de prendre place sur le dos d'un griffon et de te laisser porter vers un monde inconnu : le mien.

Puissent les dieux te guider à travers les étoiles de ton destin !

High Captain Fantasy.